Cette page reprend l'historique de toutes les journées mondiales, informations et actualités référencées par B.U.R.U.N.D.I. AISBL.
22 mars 2012: Journée Mondiale de l'eau
Pour découvrir toutes les informations relatives à cette journée, rendez-vous sur le site de "UN water"ou en cliquant sur la bannière ci-dessous
25 avril 2011 - Journée mondiale du paludisme
Le partenariat "Faire reculer le paludisme" a été créé en 1998. Il fédère les efforts de l'OMS, de l'UNICEF, de la Banque mondiale, du PNUD et d'autres partenaires dans la lutte contre le paludisme. Ils sont à l’origine de cette journée pour lancer un appel aux laboratoires pharmaceutiques et aux pays donateurs afin qu'ils soutiennent l'initiative visant à rendre disponible un nouveau médicament qui sauverait la vie, chaque année, de centaines de millions de personnes touchées par cette maladie.
L'UNICEF entend s'appuyer sur son réseau d'approvisionnement mondial pour mener le combat mondial en vue de réduire la mortalité due au paludisme.
22 mars 2011: JOURNEE MONDIALE DE L'EAU
http://www.votregouttedeau.org/
L'Assemblée générale des Nations Unies a adopté le 22 décembre 1992 la résolution A/RES/47/193 qui déclara le 22 mars de chaque année "Journée mondiale de l'eau", à compter depuis l'année 1993, conformément aux recommandations de la Conférence des Nations Unies sur l'environnement et le développement (CNUED), exprimées dans le Chapitre 18 (Ressources en eau douce) d'Action 21. Cette résolution invitait les États à consacrer ce jour, selon le contexte national, en concrétisant des actions telles que la sensibilisation du public par des publications, des diffusions de documentaires, l'organisation de conférences, de tables rondes, de séminaires et d'expositions liés à la conservation et au développement des ressources en eau et à la mise en œuvre des recommandations d'Action 21.
Na Wéwé : un court métrage aux Oscars
Le samedi 26 février 2011 à 21.05 sur La Trois et le mercredi 2 mars à 22.30 sur La Une
1994, c'est la guerre civile au Burundi, petit pays d'Afrique centrale voisin direct du Rwanda. Un affrontement proche du génocide y oppose une rébellion majoritairement d'ethnie hutu à une armée nationale majoritairement tutsie. Ce court métrage raconte un des épisodes tristement fréquents de ce conflit fratricide : l'attaque, par des rebelles, d'un minibus transportant des civils. Une kalachnikov claque. Le bus est arrêté, les passagers descendent. Un ordre est donné : "Les Hutus à gauche, les Tutsis à droite !". Commence alors le tri... Mais qui est hutu, qui est tutsi ? Cette histoire dénonce avec émotion, humour et suspense l'absurdité des luttes ethniques et raciales. L'absurdité qu'il y a à chercher absolument à étiqueter, à ranger dans des catégories. Il montre avec dérision que les distinctions raciales qui opposent si souvent les humains n'ont pas le moindre fondement.
Un film de Yvan Goldschmidt d'après une idée de Jean-Luc Pening . Une coproduction RTBF
Mercredi 2 mars sur La Une, Na Wéwé sera précédé d'un 'Tout ça ' : Pour une balle dans la tête . Sorte de making of du tournage en Afrique ....
27ème FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM D'AMOUR DE MONS
Ce festival se déroulera à Mons du 18 au 25 février 2011. Le dimanche 20 février, le film "Histoire du Burundi" de Léonce Ngabo sera projeté. Après la séance aura lieu un débat avec le public sur le film, mais aussi sur les thèmes du développement durable : "Connaître le passé pour comprendre le présent".
Participez au Programme Public des Journées Européennes du Développement !
Les Journées européennes du développement constituent un forum unique d’échanges sur les questions et les enjeux de la coopération au développement. 5.000 personnes issues des quatre coins du monde s'y retrouvent pour discuter et débattre des enjeux essentiels de la coopération internationale. Grâce au Programme Public tout citoyen peut participer aux activités socioculturelles.
A fin de sensibiliser et associer le grand public au JED, la Présidence belge soutient une quinzaine d’événements de sensibilisation au thème du développement. Ces activités socioculturelles variées se déroulent à Bruxelles, entre le 27 novembre et le 7 décembre 2010.
Le Programme Public s’adresse à tous, mais cible en particulier les jeunes et leur famille en leur proposant des spectacles de danse, un défilé de mode, des débats, des concerts, un festival de films, etc. L’ensemble du programme est soutenu par la coopération belge au développement.
Découvrez ici le Programme Public
Sources: www.dg-d.be
20 novembre : Journée Mondiale pour l'industrialisation de l'Afrique
Tous les 20 novembre, la communauté internationale et plus particulièrement les pays africains célèbrent la journée de l'industrialisation de l'Afrique. Une journée pour inciter les pays à s'engager davantage dans le processus industriel, pour susciter une prise de conscience au niveau mondial et mobiliser l'appui international en faveur du développement industriel de l'Afrique
La journée de l'industrialisation décrétée par les Nations Unies permet chaque année d'aborder des problèmes liés au développement industriel durable et d'évaluer les stratégies d'atteinte des objectifs visant à faire des Africains des partenaires égaux dans ce nouveau monde.
La place de l’Afrique sur le marché mondial
Il ne s'agit plus seulement de produire, mais d'être compétitif pour espérer tirer profit des marchés de plus en plus ouverts et concurrentiels. Cette compétitivité nécessaire pour un accès facile aux marchés dépend de la disponibilité des ressources humaines qualifiées, d'infrastructures économiques viables, d'un cadre juridique favorable à la prise de décisions commerciales sur les marchés.
Afin de relever le défi de l'accès aux marchés, les pays doivent coordonner et harmoniser leur point de vue, et parler d'une seule voix en matière de négociations commerciales, notamment dans le cadre des accords de partenariat économique (APE) avec l'Union européenne, et dans celui des négociations avec l'OMC.
L’industrialisation la solution ?
Il n'est guère utile de rappeler que la moitié de la population de l'Afrique dispose de moins d'un dollar par jour pour vivre et que 34 des 48 pays les moins avancés se trouvent en Afrique.
Pour éliminer la pauvreté, il faut donner aux pauvres accès aux services et les aider à s'assumer. L'éducation, la santé, les moyens de subsistance, la nutrition, l'hygiène et le logement sont autant d'éléments importants pour lutter contre la pauvreté. Toutefois, il existe un autre élément dont on s'est peu préoccupé ces dernières années, le rôle de l'industrialisation dans l'élimination de la pauvreté.
L'industrie crée des emplois, accroît les revenus, augmente la valeur des produits agricoles, favorise le progrès technologique, ouvre des perspectives économiques aux femmes et produit des recettes qui permettent aux gouvernements de réduire et d'éliminer la pauvreté.
Au niveau international, la communauté internationale doit intensifier son appui en Afrique en allégeant sans plus attendre le poids de la dette des pays les moins avancés, en améliorant l'accès des produits africains aux marchés internationaux, en encourageant les investissements étrangers et en augmentant l'aide publique au développement.
Sources: site web de "Journée mondiale"
CNCD Opération 11.11.11.
Campagne 2010 - Avec le Sud pour ne pas perdre le Nord
C’est parti ! Le CNCD-11.11.11 est en campagne jusqu’à la fin de l’année 2010. Fort de la collaboration du célèbre caricaturiste Pierre Kroll, le CNCD-11.11.11 mènera son action sur trois fronts, ses trois missions fondamentales : l’interpellation des autorités sur les enjeux du développement et de la coopération, la sensibilisation à travers l’éducation au développement et la récolte de fonds pour financer des projets de développement.
Ban Ki-moon : protéger la biodiversité est crucial pour le développement
22 septembre 2010 – « La conservation des espèces de la planète et des habitats est essentielle au développement durable et à la réalisation des Objectifs du millénaire pour le développement », a souligné le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, en ouverture d'une réunion de haut niveau organisée mercredi à l'Assemblée générale de l'ONU. Devant les Etats membres, Ban Ki-moon a rappelé que cette année 2010 n'était pas seulement l'Année de la biodiversité, mais aussi l'échéance que s'était fixée la communauté internationale pour réduire significativement le taux de disparition de la biodiversité.
« Les objectifs de 2010 n'ont pas été atteints », a-t-il regretté, soulignant qu'au contraire, la destruction de la biodiversité continuait de s'accélérer.
Principales causes de cette destruction continue du patrimoine biologique de la planète, la déforestation, les changements de mode d'habitat, la dégradation des terres ou le changement climatique.
« La science nous le dit, nos actions provoquent l'extinction des espèces à une vitesse mille fois plus rapide que la tendance naturelle », a poursuivi le Secrétaire général.
« Trop de gens continuent de ne pas réaliser l'implication de ces destructions. Beaucoup pensent que la terre est notre planète, que nous l'exploitons comme on le veut », a ensuite estimé Ban Ki-moon, avant de dénoncer « des arguments qui trahissent une ignorance affligeante de l'importance des écosystèmes pour notre bien-être et notre espèce, pour la régulation du climat, pour l'approvisionnement en eau, pour la sécurité alimentaire ».
Pour le patron de l'ONU, la communauté internationale doit maintenant montrer les bénéfices des investissements dans la protection de la diversité biologique, qui serviront aussi à la réalisation des Objectifs du millénaire pour le développement.
« La crise financière a été un signal d'alarme pour les gouvernements. La crise de la biodiversité n'est pas différente. Nous sommes en train de plonger nos ressources naturelles dans la banqueroute, nous avons besoin d'un plan de relance avant qu'il ne soit trop tard », a encore indiqué le Secrétaire général. Ce plan de relance, ce sera le mois prochain à Nagoya, au Japon, qu'il sera défini, selon Ban Ki-moon, lors de la rencontre des 193 Etats parties la Convention sur la biodiversité biologique. Les pays doivent en effet y adopter un Plan stratégique sur la biodiversité, intégrant aussi des objectifs précis à atteindre pour réduire les destructions d'ici à 2050.
« C'est un plan solide sur le papier, mais qui nécessitera des leaders pour le mettre en œuvre. Pas seulement des ministres de l'environnement, mais aussi des ministres des finances, de la planification, de l'économie, des transports, de la santé », a souligné Ban Ki-moon, avant d'appeler « à cesser de voir la protection de l'environnement comme un coût ».
« Investir pour maintenir et restaurer nos écosystèmes, nos infrastructures naturelles, peut apporter des gains économiques qui se chiffrent en centaines de milliards. Les laisser dépérir, c'est jeter de l'argent par les fenêtres », a conclu Ban Ki-moon qui a appelé tous les responsables politiques à s'engager réellement dans la protection de la diversité biologique ».
Dans son allocution, le Président de l'Assemblée générale, Joseph Deiss, s'est aussi fait l'écho de cet appel de Ban ki-moon. « Nous ne pouvons plus ignorer la destruction continue des écosystèmes, qui non seulement nous fournissent notre nourriture et nos médicaments, mais offrent aussi à l'humanité son bien-être. Des stratégies existent pour protéger et préserver notre planète riche en biodiversité. Nous avons besoin maintenant que les pays mettent en œuvre ces stratégies », a-t-il déclaré.
Sources: http://www.un.org/apps/newsFr/storyF.asp?NewsID=23060
Les dirigeants du monde entier réunis à l'ONU pour accélérer les progrès vers la réalisation des OMD
Regarder le débat en direct | Lire les déclarations
À seulement cinq ans de l’échéance de 2015 fixée pour la réalisation des objectifs du Millénaire pour le développement (OMD), les dirigeants du monde sont réunis en sommet à New York, du 20 au 22 septembre, afin de permettre une accélération des progrès en vue de la réalisation des OMD.
« Il n’y a pas de projet mondial plus valable que celui-là », a déclaré M. Ban Ki-moon, secrétaire général de l'ONU, devant les quelques 140 Chefs d'État et de Gouvernement qui participent au Sommet. « Diffusons un vigoureux message d’espoir. Tenons les promesses que nous avons faites. »
L'objectif du Sommet est de faire les bilan des progrès accomplis vers la réalisation des OMD — réduire l'extrême pauvreté et la faim, assurer l'éducation primaire pour tous, promouvoir l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes, réduire la mortalité infantile, améliorer la santé maternelle, combattre le VIH/sida, le paludisme et autres maladies, préserver l'environnement, mettre en place un partenariat mondial pour le développement — et accélérer les efforts pour assurer la réalisation de ces objectifs d'ici à 2015.
« Nous ne devons pas manquer à nos engagements envers les milliards de personnes qui attendent que la communauté internationale fasse de la promesse d’un monde meilleur inscrite dans la Déclaration du Millénaire une réalité. Rencontrons nous en septembre pour honorer cette promesse. »
M. Ban Ki-moon, Secrétaire général des Nations Unies
Extrait du rapport A/64/665
Sources: http://www.un.org/fr/millenniumgoals/
Les Objectifs du Millénaire pour le Développement
En 2000, les Etats Membres (189 nations) avaient fixé huit objectifs de développement à atteindre d'ici 2015 : réduire l'extrême pauvreté et la faim, assurer l'éducation primaire pour tous, promouvoir l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes, réduire la mortalité infantile, améliorer la santé maternelle, combattre le VIH/sida, le paludisme et d'autres maladies, préserver l'environnement, mettre en place un partenariat mondial pour le développement.
Huit objectifs à réaliser d'ici 2015 : les huit objectifs du Millénaire pour le développement (OMD). À seulement cinq ans de l'échéance, il reste encore beaucoup à faire.
21 septembre 2010 – Si de nombreux pays ont fait de vrais progrès dans la réalisation des Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD), « la pauvreté reste en revanche élevée dans les Pays les moins avancés (PMA) où les progrès sont trop lents, dans les domaines de la faim, de l'éducation ou de la santé », a déclaré mardi le Président de l'Assemblée générale de l'ONU, Joseph Deiss.
« C'est à l'aulne de la réalisation des OMD dans les PMA que nous pourrons mesurer le succès de cette entreprise et déterminer si nous avons tenu les promesses faites », a-t-il ajouté, en ouverture d'une réunion sur les PMA, organisée en marge du Sommet de l'ONU sur les OMD qui se tient à New York.
La Belgique vibre au rythme du commerce équitable !
C'est reparti… pour la Semaine du commerce équitable !
Dix jours durant, (du 29 septembre au 9 octobre 2010), notre pays sera placé sous le signe du commerce équitable ! Faites de cette semaine un moment inoubliable et participez aux nombreux événements en famille, entre amis, entre camarades de classe ou entre collègues. Toute une série d'événements de sensibilisation seront organisés par des écoles, des organisations, des magasins, des communes, etc. pendant la Semaine du commerce équitable. Le Trade for Development Centre de la CTB (l'Agence belge de développement) appuie de nombreux projets axés sur le commerce équitable. Au programme , des animations ludiques et des débats captivants, mais également des événements pour les fêtards et des dégustations pour les gastronomes. Tout le monde trouvera chaussure à son pied !
Montrez votre engagement pour un monde solidaire, Participez à la Semaine du commerce équitable 2010… et faites vibrer la Belgique au rythme du commerce équitable !
Sources: http://www.befair.be/fr/articles/www-befair-be/5-la-semaine/home.cfm
Le 1er septembre 2010, à l'occasion d'une avant-première exceptionnelle, Carmen,
la plus célèbre des bohémiennes chantera pour les enfants du Burundi.
En Afrique, notamment au Burundi, les enfants souffrent de graves problèmes de santé et de malnutrition. Louvain Coopération au Développement offre aux enfants les soins et l'alimentation nécessaires à l'amélioration durable de leur santé. Des kits nutritionnels et des visites prénatales et néonatales sont ainsi proposés aux familles. En développant le système de soins de santé, Louvain Coopération au Développement garantit aux enfants et à leur famille d'être soignés dans de bonnes conditions et sans que leurs parents n'aient à s'endetter de longues années pour les guérir.
Voici le témoignage de Kankou, la maman de Léonie, qui a reçu l'aide de Louvain Coopération au Développement: « Je sais aujourd'hui que grâce à Louvain Coopération au Développement ma fille Léonie ne risque plus rien. Elle est en bonne santé et nous n'avons plus peur de l'avenir car nous savons que nous ne serons plus jamais forcés de nous priver de nourriture pour la soigner » .
Les bénéfices du concert permettront de financer notre projet dans la province de Ngozi. Chaque place permettra d'offrir un kit nutritionnel et une visite médicale à un enfant.
Réservez dès maintenant vos places et faites plus que vivre un spectacle d'exception : offrez une meilleure santé à un enfant ! Réservations directement via Internet www.070.be , par téléphone au 070/222.007 ou grâce au talon-réponse à télécharger
1er juillet 2010:
Lancement du marché commun en Afrique de l'Est
Les cinq pays membres de la Communauté d'Afrique de l'Est (CAE) vont lancer, jeudi, le marché commun pour ce bloc de plus de 120 millions d'habitants.
Ce marché va permettre la libre circulation des personnes, des biens et marchandises ainsi que des capitaux mais les cinq membres de ce groupement (Burundi, Kenya, Ouganda, Rwanda et Tanzanie) sont à des différents niveaux de développement ce qui constitue un obstacle à une rapide intégration économique. Le climat des affaires défavorable, la lourdeur de la bureaucratie, la faiblesse des réseaux de télécommunications et de l'accès à l'eau sont les autres difficultés face à ce marché commun, selon la directrice de l'institut kenyan pour les affaires économiques Margaret Chemengich. Les coûts élevés de transport attribués à la médiocrité des infrastructures routières et ferroviaires, l'insécurité, la corruption, le manque de compétitivité et l'énergie sont des défis à relever par les pays membres.
Sources: http://www.lematin.ma/Actualite/Journal/Article.asp?idr=113&id=135607
Du 12 au 19 juin 2010 : Semaine du Burundi à Thuin! OH ... LA VACHE!
APENS et ses partenaires vous proposent une série de manifestations qui vous permettra de faire la découverte du Burundi, de sa culture et de sa cuisine.
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Centre culturel de Thuin
Quartier du Beffroi, 2
6530 Thuin
Le Vernissage, sous le patronage de la Ville de Thuin, aura lieu le samedi 12 juin 2010.
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Cette exposition, qui se tiendra du 12 au 19 juin 2010 au Centre Culturel de Thuin, vous propose de partir à la découverte du Burundi sous trois angles : une présentation générale du pays, un parcours sur le thème de la vache dans la culture burundaise, une présentation de la région d'Ijenda et Mugongomanga.
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Le Rapido Bar vous proposera, le samedi 12 juin en soirée, un authentique repas burundais.
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Le samedi 19 juin : Les Tambours du Burundi à la Fête de la musique: organisée par la ville de Thuin, le CAL et le Centre Culturel de Thuin, la Fête de la musique font cette année honneur au Burundi en accueillant un groupe de tambourinaires. Ils ouvriront les festivités à 18h00. Issus d'une tradition millénaire, les Tambourinaires du Burundi étaient, à l'origine, des bergers au service du Roi, initiés à l‘art du Tambour de père en fils. Si les Tambourinaires ne sont plus ni sacrés ni royaux et ont troqué les vêtements traditionnels en écorce de ficus pour des tenues blanches, vertes et rouges (les couleurs nationales burundaises), ils ont conservé de la tradition un profond respect du tambour, objet sacré. Fascinant mélange de formalisation et de spontanéité proche de la transe, l'éblouissement rythmique que nous offrent les maîtres Tambourinaires du Burundi éclate avec l'exubérance naturelle, la joie et la volonté de vivre de tout un peuple.
APENS est l'Association pour la Promotion des Echanges Nord-Sud (asbl). Leur objectif est de favoriser les échanges au sens large (culturels, économiques, touristiques, personnels, entre groupements, entre associations) entre les pays du Nord et ceux du Sud. Renseignements par téléphone au 071/59.60.35 ou par mail à l'adresse suivante apens.asbl(at)hotmail.com
16 juin 2010 : Journée Internationale de l'Enfant Africain
La commémoration de la Journée Internationale de l'Enfant Africain le 16 juin est à l'origine d' IDAY et représente l'événement phare du réseau. Cette date fut choisie à la demande d'organisations de la société civile (OSCs) africaines pour stimuler le dialogue sur la question de l'éducation de base entre d'une part elles et leurs gouvernements et entre OSCs africaines et européennes poursuivant le même but. Elle correspond à la date choisie en 1991 par l'Union Africaine pour commémorer le massacre de jeunes Sud-Africains le 16 juin 1976 par l'armée de l'Apartheid alors qu'ils manifestaient pacifiquement dans le bidonville de Soweto pour une meilleure éducation.
De plus amples informations peuvent être obtenues sur le site www.iday.org
25 avril 2010 : journée mondiale de lutte contre le paludisme
Le paludisme touche encore 40% de la population mondiale. Il infecte plus de 500 millions de personnes par an et en tue plus d'un million. C'est en Afrique subsaharienne (dont fait partie le Burundi) que la charge du paludisme est la plus lourde, mais la maladie affecte aussi l'Asie, l'Amérique latine, le Moyen-Orient et même certaines parties de l'Europe.
La Journée mondiale de lutte contre le paludisme - instituée par l'Assemblée mondiale de la Santé lors de sa 60e session en mai 2007 - a pour but de faire prendre conscience de l'effort mondial nécessaire pour lutter efficacement contre le paludisme. Elle donne l'occasion:
- aux pays affectés de tirer parti des expériences des uns et des autres et de s'entraider;
- à de nouveaux bailleurs de fonds de rejoindre un partenariat mondial contre le paludisme;
- aux institutions académiques et instituts de recherche d'attirer l'attention tant des experts que du grand public sur leurs progrès scientifiques;
- aux partenaires internationaux, aux entreprises et fondations de montrer les actions entreprises et de réfléchir aux moyens de développer davantage ce qui a bien marché.
Le paludisme demeure la première cause de mortalité et de morbidité au Burundi. Il est
responsable de 48% des cas de décès chez les enfants de moins de 5 ans et de plus de 50 % des motifs de
consultation dans les hôpitaux et centres de santé. L a zone d’endémicité pour le paludisme ne cesse de
s’étendre pour maintenant atteindre les régions des plateaux et de hautes altitudes. Il se présente
régulièrement sous forme épidémique surtout chez les populations faiblement immunes.
Aidez-nous à vaincre cette maladie en nous faisant un don, celui-ci servira a acheter des moustiquaires imprégnées d'insecticide pour protection à long terme (MILD) qui seront distribuées à la population riveraine de la Malagarazi, fortement affectée par la malaria.
Tout don, même minime est important, les petits ruisseaux forment les grandes rivières.
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